Comme un miroir qui s’attarde / Como un espejo demorado

Ce recueil, anthologie personnelle (1987-2001) de 168 pages, questionne profondément la présence et/ou l'absence de relations entre le moi de l'en-dedans face au moi de l'en-dehors et celles de ce dernier, face au premier. La présence de l'un crée-t-elle l'absence de l'autre et/ou lui donne-t-elle réalité ? Et si elle donne réalité à l'autre de soi, qu'est-ce que l'un perd de lui-même et qu'acquiert-il de l'autre ? Est-ce notre absence et/ou notre présence à la réalité qui nous mène au rêve ou notre absence du rêve qui en fait une réalité ?

Cerrato questionne donc ce que l'en-dehors et l'en-dedans gagnent et perdent tant dans le vide, le rien, la solitude et les caresses des hommes, des mots, des langues et des amours que le plein senti, ressenti et pensé de toute langue cherchant à reproduire la non-solitude, les couleurs, les sons, la densité et l'intensité des émotions, des mots et des amours.

Cerrato fait donc le procès de la finalité de la vie, de l'amour et de la mort par leur présence et/ou leur absence au-dedans et au-dehors de chacun de nous et de l'autre.

N'est-ce-pas là la finalité de la poésie et la tâche incontournable du poète que de tenter de cerner la réalité et l'irréalité de ces mots et de nos vies ?

Je vous invite à lire ce recueil où, passionnément, corps et âme, Laura Cerrato conjugue à tous les temps, passe au scalpel, affronte mais aussi se love dans la solitude et le partage amoureux de trois seuls mots importans de ce monde : la vie, l'amour et la mort.

« si je comprends ce que je dis
c'est que je ne comprends pas
ce que je dis »

« si comprendo lo que digo
es que no comprendo
lo que digo »

 

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Description

Ce recueil, anthologie personnelle (1987-2001) de 168 pages, questionne profondément la présence et/ou l'absence de relations entre le moi de l'en-dedans face au moi de l'en-dehors et celles de ce dernier, face au premier. La présence de l'un crée-t-elle l'absence de l'autre et/ou lui donne-t-elle réalité ? Et si elle donne réalité à l'autre de soi, qu'est-ce que l'un perd de lui-même et qu'acquiert-il de l'autre ? Est-ce notre absence et/ou notre présence à la réalité qui nous mène au rêve ou notre absence du rêve qui en fait une réalité ?

Cerrato questionne donc ce que l'en-dehors et l'en-dedans gagnent et perdent tant dans le vide, le rien, la solitude et les caresses des hommes, des mots, des langues et des amours que le plein senti, ressenti et pensé de toute langue cherchant à reproduire la non-solitude, les couleurs, les sons, la densité et l'intensité des émotions, des mots et des amours.

Cerrato fait donc le procès de la finalité de la vie, de l'amour et de la mort par leur présence et/ou leur absence au-dedans et au-dehors de chacun de nous et de l'autre.

N'est-ce-pas là la finalité de la poésie et la tâche incontournable du poète que de tenter de cerner la réalité et l'irréalité de ces mots et de nos vies ?

Je vous invite à lire ce recueil où, passionnément, corps et âme, Laura Cerrato conjugue à tous les temps, passe au scalpel, affronte mais aussi se love dans la solitude et le partage amoureux de trois seuls mots importans de ce monde : la vie, l'amour et la mort.

« si je comprends ce que je dis
c'est que je ne comprends pas
ce que je dis »

« si comprendo lo que digo
es que no comprendo
lo que digo »

 

Auteur

Information complémentaire

ISBN : 2-89046-848-8
PUBLICATION : 2004-01-01
LANGUE : français-espagnol
PAGES : 168
DIMENSIONS : 12,8 x 20,3 x 1,0
STATUT : Disponible