Fermeture des livres de comptes

Fermeture des livres de comptes est le troisième recueil de poésie publié par Jean-Éric Riopel aux Écrits des Forges, après Papillons réfractaires, paru en 1999 ( pour lequel il a reçu le prix Émile-Nelligan), et Dans le blanc, paru en 2001. Il est éditeur et codirecteur de la revue de poésie Estuaire.

La quête poétique de Jean-Éric Riopel l’amène cette fois à affiner ce qu’il faudrait nommer « l’art de déplacer les sens » : Fermeture des livres de comptes est une étude minutieuse des mots, dans leur étymologie, mais aussi dans leurs variations les plus larges, le tout servant un système d’images singulier. Par exemple cette «… procession blanche d’oies pénitentes dans le jardin du cloître : les douze apôtres avancent au pas cadencé tandis qu’un angelot au combat bascule dans le ciel bleu en empoignant les cornes d’une gorgone. »

Usant de formes diverses et d’artifices appropriés à chaque poème ou à chaque défi poétique qu’il se lance (lire la partie intitulée « Harrington Harbour et Chevery »), le poète n’hésite pas à puiser dans le corpus poétique du XXe siècle, comme le surréalisme et les recherches formelles des années 1970, pour s’en approprier et en actualiser les découvertes.

Et tandis que nous traversons des formes poétiques variées, Fermeture des livres de comptes nous fait également traverser des lieux aussi divers que Barcelone, Ottawa, Paris, Joliette ou Montréal, dans un voyage intérieur riche et original, aussi vivant que dynamique.

N’hésitons pas à accepter l’invitation que l’auteur nous lance

« Tu me dis que sur une photo
que tu as faite de moi
je suis comme une fenêtre ouverte
Tu peux me lire à travers »

afin de découvrir une voix, à la fois nouvelle et originale, de la poésie québécoise.

 

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Description

Fermeture des livres de comptes est le troisième recueil de poésie publié par Jean-Éric Riopel aux Écrits des Forges, après Papillons réfractaires, paru en 1999 ( pour lequel il a reçu le prix Émile-Nelligan), et Dans le blanc, paru en 2001. Il est éditeur et codirecteur de la revue de poésie Estuaire.

La quête poétique de Jean-Éric Riopel l’amène cette fois à affiner ce qu’il faudrait nommer « l’art de déplacer les sens » : Fermeture des livres de comptes est une étude minutieuse des mots, dans leur étymologie, mais aussi dans leurs variations les plus larges, le tout servant un système d’images singulier. Par exemple cette «… procession blanche d’oies pénitentes dans le jardin du cloître : les douze apôtres avancent au pas cadencé tandis qu’un angelot au combat bascule dans le ciel bleu en empoignant les cornes d’une gorgone. »

Usant de formes diverses et d’artifices appropriés à chaque poème ou à chaque défi poétique qu’il se lance (lire la partie intitulée « Harrington Harbour et Chevery »), le poète n’hésite pas à puiser dans le corpus poétique du XXe siècle, comme le surréalisme et les recherches formelles des années 1970, pour s’en approprier et en actualiser les découvertes.

Et tandis que nous traversons des formes poétiques variées, Fermeture des livres de comptes nous fait également traverser des lieux aussi divers que Barcelone, Ottawa, Paris, Joliette ou Montréal, dans un voyage intérieur riche et original, aussi vivant que dynamique.

N’hésitons pas à accepter l’invitation que l’auteur nous lance

« Tu me dis que sur une photo
que tu as faite de moi
je suis comme une fenêtre ouverte
Tu peux me lire à travers »

afin de découvrir une voix, à la fois nouvelle et originale, de la poésie québécoise.

 

Auteur

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Information complémentaire

ISBN : 2-89046-989-1
PUBLICATION : 2006-01-01
LANGUE : français
PAGES : 140
DIMENSIONS : 12,7 x 20,4 x 0,9
STATUT : Disponible