Description
Traduction : Jean-Paul Junck et Jean Portante
«Ouah ! Ça décoiffe ! (…) Pierre Joris nous donne ici une écriture rythmée, syncopée… De l’accéléré aux cassures de rythme, où la disparité des textes ne présente pas de diversité, mais une variation poétique d’une intensité époustouflante.»
« Pousse contre
le mou du temps.Reconnais la défaite.
l’exercice se traîne,boite derrière le désir.
L’hiver finit. Changede maison. Repense
à Europe ta mère(beuglement
au crépuscule)se mord la langue :
sans dans la bouche. »