Le crime n’existe pas

Éric Roberge est né à Trois-Rivières en 1969. Après une longue expérience militaire dans les blindés, il s’inscrit à l’UQTR où il complète une maîtrise en littérature. En 1997, il reçoit le prix Gérald-Godin pour son recueil Trafiqueurs de nuit. Il enseigne au département de littérature et communication du Cégep de Trois-Rivières. Le crime n’existe pas est son 4e titre aux Écrits des Forges.

Le crime n’existe pas livre un témoignage intense, chargé d’images flamboyantes. Éric Roberge, inspiré d’une part par l’œuvre de Sade, par le réel et, d’autre part, par l’amour souterrain, l’enfance et la fraternité intergénérationnelle, tente par le langage de nier toute agression possible. Le poème devient alors l’arme ultime qui transcende le quotidien si bien garni d’immondices, si bien rempli de mensonges ou de vérités trop difficiles à accepter. Mais le poète n’est pas dupe en refusant que le crime prenne son envergure justifiable, lui-même n’utilise-t-il pas l’art «bandit» du poème pour se donner le droit de fermer les yeux et ainsi déployer les draps du rêve ?

« Que les lions des premiers chrétiens
que les chevaux de Cortès
reviennent des abattoirs
nous réécrirons notre histoire »

 

 

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Description

Éric Roberge est né à Trois-Rivières en 1969. Après une longue expérience militaire dans les blindés, il s’inscrit à l’UQTR où il complète une maîtrise en littérature. En 1997, il reçoit le prix Gérald-Godin pour son recueil Trafiqueurs de nuit. Il enseigne au département de littérature et communication du Cégep de Trois-Rivières. Le crime n’existe pas est son 4e titre aux Écrits des Forges.

Le crime n’existe pas livre un témoignage intense, chargé d’images flamboyantes. Éric Roberge, inspiré d’une part par l’œuvre de Sade, par le réel et, d’autre part, par l’amour souterrain, l’enfance et la fraternité intergénérationnelle, tente par le langage de nier toute agression possible. Le poème devient alors l’arme ultime qui transcende le quotidien si bien garni d’immondices, si bien rempli de mensonges ou de vérités trop difficiles à accepter. Mais le poète n’est pas dupe en refusant que le crime prenne son envergure justifiable, lui-même n’utilise-t-il pas l’art «bandit» du poème pour se donner le droit de fermer les yeux et ainsi déployer les draps du rêve ?

« Que les lions des premiers chrétiens
que les chevaux de Cortès
reviennent des abattoirs
nous réécrirons notre histoire »

 

 

Auteur

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Information complémentaire

ISBN : 2-89046-570-5
PUBLICATION : 2000-01-01
LANGUE : français
PAGES : 72
DIMENSIONS : 12,8 x 20,3 x 0,6
STATUT : Disponible