Lèvres urbaines 10

de

Cécile Cloutier,  
Danielle Laurin,  
Micheline Lévesque,  
Renaud Longchamps,  
Ken Norris,  
Mona Latif-Ghattas,  
Jean-Paul Daoust,  
Denise Boucher,  
Patrice Beray,  
Marie-Andrée Lévesque,  
Endre Farkas,  
Michael Delisle,  
Yolande Villemaire,  
Ian Stanwood,  
Claude Beausoleil,  
Jean-Yves Reuzeau,  
Sharon Thesen  

En poésie il y a le bruissement de la langue qui est là à froisser les papiers, les idées, les formes. En relisant ce numéro 10, déduire qu’il y a une poésie urbaine qui s’articule aux référents, aux détours, aux décryptages qui contiennent un souffle de l’actuel. Lire ces textes, ces poèmes qui vivent dans la zone critique des mots affichant une attention pour l’écriture, le geste, l’atmosphère. Ici des auteur(e)s québécois, belges, français et canadiens donnent à imaginer des versions de l’inattendu.

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Description

de

Cécile Cloutier,  
Danielle Laurin,  
Micheline Lévesque,  
Renaud Longchamps,  
Ken Norris,  
Mona Latif-Ghattas,  
Jean-Paul Daoust,  
Denise Boucher,  
Patrice Beray,  
Marie-Andrée Lévesque,  
Endre Farkas,  
Michael Delisle,  
Yolande Villemaire,  
Ian Stanwood,  
Claude Beausoleil,  
Jean-Yves Reuzeau,  
Sharon Thesen  

En poésie il y a le bruissement de la langue qui est là à froisser les papiers, les idées, les formes. En relisant ce numéro 10, déduire qu’il y a une poésie urbaine qui s’articule aux référents, aux détours, aux décryptages qui contiennent un souffle de l’actuel. Lire ces textes, ces poèmes qui vivent dans la zone critique des mots affichant une attention pour l’écriture, le geste, l’atmosphère. Ici des auteur(e)s québécois, belges, français et canadiens donnent à imaginer des versions de l’inattendu.

« Corps en filigrane
cette prestance étrange deux ou trois mouvements
insensés

bientôt je parle d’imaginaires et
j’annonce labilité & ubiquité de la vie

Un monde sans image et sans imaginaire creuse
son névé à mon insu
les miroirs se liftent d’opacité

alors je parcours des magazines insensés à
lire et des appartements de passage s’ouvrent
encore au plus tard de la nuit »

Patrice Beray