Lèvres urbaines 14

de

Claude Beausoleil,  
Lise Fontaine,  
Jocelyne Dazé,  
Louis Jacob,  
Andrea Moorhead,  
Dorina Michelutti,  
Samuel Ronzon,  
Louise Blouin,  
Claude Paré,  
Joseph Bonenfant,  
Claude Darbellay,  
Yolande Villemaire,  
Marie Décary  

Les textes arrivent, sur demande ou au hasard et parfois quelque chose s’organise d’imprévu dans le lieu d’une conjoncture, entre l’espace de l’écriture et celui de la lecture. À la relecture du choix de textes, le travail de la couleur est apparu ; actif, dérivé, ses nuances englobant la proposition de ce numéro 14 de Lèvres urbaines. Un des plaisirs de l’édition est de voir surgir de l’inédit, le ludique de la création laissant entrer la capiteuse odeur du monde…

Rose, noir, bleu, rouge, jaune, blanc, Mexique, Québec, Suisse, Canada, U.S.A. ; textes-poèmes aux couleurs du monde que la page des villes redistribue.
 

Claude Beausoleil

$10.00 + TPS

Description

de

Claude Beausoleil,  
Lise Fontaine,  
Jocelyne Dazé,  
Louis Jacob,  
Andrea Moorhead,  
Dorina Michelutti,  
Samuel Ronzon,  
Louise Blouin,  
Claude Paré,  
Joseph Bonenfant,  
Claude Darbellay,  
Yolande Villemaire,  
Marie Décary  

Les textes arrivent, sur demande ou au hasard et parfois quelque chose s’organise d’imprévu dans le lieu d’une conjoncture, entre l’espace de l’écriture et celui de la lecture. À la relecture du choix de textes, le travail de la couleur est apparu ; actif, dérivé, ses nuances englobant la proposition de ce numéro 14 de Lèvres urbaines. Un des plaisirs de l’édition est de voir surgir de l’inédit, le ludique de la création laissant entrer la capiteuse odeur du monde…

Rose, noir, bleu, rouge, jaune, blanc, Mexique, Québec, Suisse, Canada, U.S.A. ; textes-poèmes aux couleurs du monde que la page des villes redistribue.
 

Claude Beausoleil

Coup d’envoi

« un carré blanc
de l’encre bleue
des sillons nerveux

une citation pour le rythme
un alinéa pour la gorgée de café / cognac
et surtout
des entre-lignes

des étoiles filantes
ou des échardes
qui s’évadent de la page
et se ramifient
sur les désirs

un carré blanc
pour ce trop-plein du ténu
entre nous »

Louise Blouin