Lèvres urbaines 24

de

Jean-Paul Daoust
Gérald Leblanc

Lèvres urbaines présente, dans son numéro 24, des visions croisées de l’Amérique déroulant ses images comme un « work in progress », étirant ses sonorités faites de la musique du quotidien, du délire des rues, de l’intimité et de la force de l’ironie. Ces voix poétiques sont nées de ce continent qui, sans cesse, se transforme comme la longue liste d’un futur en action. Les poètes Jean-Paul Daoust et Gérald Leblanc sont issus du courant de la modernité et ont assumé, dans leurs œuvres respectives, la place de l’Amérique comme miroir tendu à la poésie plongeant dans ses racines orales pour retrouver le rythme essentiel. Dans leurs déferlements d’images, il nous entraînent au hasard des flashes et des éclats de l’époque.

Jean-Paul Daoust. Né au Québec, il a publié, depuis 1976, de nombreux recueils de poèmes dont Poèmes de Babylone, Taxi, Dimanche après-midi, Les garcons magiques et tout récemment, L’Amérique. À Lèvres urbaines, il a fait paraître Black Diva en 1983. Les Cendres bleues lui a valu en 1990 le Prix du Gouverneur général. La poésie de Jean-Paul Daoust est un chant qui explore le réel jusqu’à la limite de l’aveu. Le rhum & coke est les lunettes noires sont les fétiches de ce dandy urbain. Il est directeur de la revue Estuaire.

Gérald Leblanc. Né en Acadie, il vit et écrit à Moncton. La qualité et l’abondance de son œuvre poétique le placent parmi les auteurs les plus importants de la poésie acadienne moderne. Depuis Comme un otage du quotidien, paru en 1981, il a publié 8 recueils dont L’extrême frontière, Géographie de la nuit rouge et Complaintes du continent. Animateur, traducteur, il travaille sur tous les fronts à stimuler et à faire connaître les « voix actuelles » de la culture d’Acadie. Il a reçu le Grand Prix littéraire de la ville de Moncton.
 

Un autre matin

« j’aborde la rue avec attention
je suis l’impératif intérieur
l’équilibre du dedans et du dehors
systole et diastole
de l’attraction »

Gérald Leblanc

 

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Description

de

Jean-Paul Daoust
Gérald Leblanc

Lèvres urbaines présente, dans son numéro 24, des visions croisées de l’Amérique déroulant ses images comme un « work in progress », étirant ses sonorités faites de la musique du quotidien, du délire des rues, de l’intimité et de la force de l’ironie. Ces voix poétiques sont nées de ce continent qui, sans cesse, se transforme comme la longue liste d’un futur en action. Les poètes Jean-Paul Daoust et Gérald Leblanc sont issus du courant de la modernité et ont assumé, dans leurs œuvres respectives, la place de l’Amérique comme miroir tendu à la poésie plongeant dans ses racines orales pour retrouver le rythme essentiel. Dans leurs déferlements d’images, il nous entraînent au hasard des flashes et des éclats de l’époque.

Jean-Paul Daoust. Né au Québec, il a publié, depuis 1976, de nombreux recueils de poèmes dont Poèmes de Babylone, Taxi, Dimanche après-midi, Les garcons magiques et tout récemment, L’Amérique. À Lèvres urbaines, il a fait paraître Black Diva en 1983. Les Cendres bleues lui a valu en 1990 le Prix du Gouverneur général. La poésie de Jean-Paul Daoust est un chant qui explore le réel jusqu’à la limite de l’aveu. Le rhum & coke est les lunettes noires sont les fétiches de ce dandy urbain. Il est directeur de la revue Estuaire.

Gérald Leblanc. Né en Acadie, il vit et écrit à Moncton. La qualité et l’abondance de son œuvre poétique le placent parmi les auteurs les plus importants de la poésie acadienne moderne. Depuis Comme un otage du quotidien, paru en 1981, il a publié 8 recueils dont L’extrême frontière, Géographie de la nuit rouge et Complaintes du continent. Animateur, traducteur, il travaille sur tous les fronts à stimuler et à faire connaître les « voix actuelles » de la culture d’Acadie. Il a reçu le Grand Prix littéraire de la ville de Moncton.
 

Un autre matin

« j’aborde la rue avec attention
je suis l’impératif intérieur
l’équilibre du dedans et du dehors
systole et diastole
de l’attraction »

Gérald Leblanc