Lèvres urbaines 26

Traduction : Claudia Pervès

Décrire des révoltes et des apaisements. Chercher à voir. Délimiter les territoires d’une stratégie émanant à vif du corps de la réalité. Du sang et de l’eau, des os, de la terre, la mer, le délire, le recueillement, la dérision et la compassion, l’autre et le soi, l’amour physique, mystique jusqu’à la contemplation dépouillée. Ces horizons se partagent ici une essentielle violence d’être et sont explorés par deux voix différentes oscillant entre raison et intuition. D’une part, dans une langue vitriolique, l’Espagnole Luisa Castro dépèce les sentiments et les arguments d’un cru combat sexué, d’autre part, la Québécoise Thérèse Renaud, dans une langue à la recherche d’un équilibre fragilement esquissé à partir des données d’un « enfermement » cyclique, inscrit un univers tendu vers l’introspection. D’où viendraient les révoltes et « l’éblouissement » du silence, sinon de l’expérience humaine avec tout ce que cela comprend de coexistence entre douleur et joie, désir, perte et conscience ?

 

« Quand nous revenons les murs sont pleins de mots ».

Luisa Castro

 

« Se peut-il
que cette éclatante évidence
aveugle ! »

Thérèse Renaud

 

 

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Description

Traduction : Claudia Pervès

Décrire des révoltes et des apaisements. Chercher à voir. Délimiter les territoires d’une stratégie émanant à vif du corps de la réalité. Du sang et de l’eau, des os, de la terre, la mer, le délire, le recueillement, la dérision et la compassion, l’autre et le soi, l’amour physique, mystique jusqu’à la contemplation dépouillée. Ces horizons se partagent ici une essentielle violence d’être et sont explorés par deux voix différentes oscillant entre raison et intuition. D’une part, dans une langue vitriolique, l’Espagnole Luisa Castro dépèce les sentiments et les arguments d’un cru combat sexué, d’autre part, la Québécoise Thérèse Renaud, dans une langue à la recherche d’un équilibre fragilement esquissé à partir des données d’un « enfermement » cyclique, inscrit un univers tendu vers l’introspection. D’où viendraient les révoltes et « l’éblouissement » du silence, sinon de l’expérience humaine avec tout ce que cela comprend de coexistence entre douleur et joie, désir, perte et conscience ?

 

« Quand nous revenons les murs sont pleins de mots ».

Luisa Castro

 

« Se peut-il
que cette éclatante évidence
aveugle ! »

Thérèse Renaud