Présence de la terre

Présence de la terre est le plus récent recueil de poèmes d'Andrea Moorhead à paraître aux Écrits des Forges.

Andrea Moorhead, poète vivant aux États-Unis, est directrice de la revue littéraire Osiris. Son oeuvre poétique est à la fois publiée en anglais (aux États-Unis, en Angleterre et au Nouveau-Brunswick) et en français (au Québec, tous parus aux Écrits des Forges).

Présence de la terre rassemble des poèmes qui, s'ils sont lumineux et accueillants de prime abord, se débattent, au plus profond, avec la guerre et le géocide, tout en laissant parler la terre elle-même, le plus possible. Moorhead y raconte le passé et la conscience de cette masse de feu, de pierre et de croûte fertile qui est à l'origine de nos jours.

Mais liant les paysages primordiaux de la Gaspésie et du désert d'Afghanistan, Présence de la terre est surtout une chronique matérielle du coeur humain, qui cherche la beauté du monde à travers les mots assassinés et l'odeur acre de la planète brûlée.

« nous quittons la ville
au petit jour
craignant de réveiller
les coeurs éteints. »

 

 

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Description

Présence de la terre est le plus récent recueil de poèmes d'Andrea Moorhead à paraître aux Écrits des Forges.

Andrea Moorhead, poète vivant aux États-Unis, est directrice de la revue littéraire Osiris. Son oeuvre poétique est à la fois publiée en anglais (aux États-Unis, en Angleterre et au Nouveau-Brunswick) et en français (au Québec, tous parus aux Écrits des Forges).

Présence de la terre rassemble des poèmes qui, s'ils sont lumineux et accueillants de prime abord, se débattent, au plus profond, avec la guerre et le géocide, tout en laissant parler la terre elle-même, le plus possible. Moorhead y raconte le passé et la conscience de cette masse de feu, de pierre et de croûte fertile qui est à l'origine de nos jours.

Mais liant les paysages primordiaux de la Gaspésie et du désert d'Afghanistan, Présence de la terre est surtout une chronique matérielle du coeur humain, qui cherche la beauté du monde à travers les mots assassinés et l'odeur acre de la planète brûlée.

« nous quittons la ville
au petit jour
craignant de réveiller
les coeurs éteints. »