As-tu vu mes patins ?

Sur les murs

« sur les murs de Forillon vous écrivez
des poèmes qui gardent l’empreinte des
fossiles longtemps après. Vous pensez
à tous ces yeux qui ouvrent l’espace
devant vous, sans jamais cesser d’être
l’oasis. Plus près vous retracez à
gué les géographies qui parlent à
la nuit. Il y a tant et tant
de lois possibles. »

Denuis St-Yves, Clandestin comme l’enfance, Écrits des Forges,1988, p.18

 

 

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Description

Sur les murs

« sur les murs de Forillon vous écrivez
des poèmes qui gardent l’empreinte des
fossiles longtemps après. Vous pensez
à tous ces yeux qui ouvrent l’espace
devant vous, sans jamais cesser d’être
l’oasis. Plus près vous retracez à
gué les géographies qui parlent à
la nuit. Il y a tant et tant
de lois possibles. »

Denuis St-Yves, Clandestin comme l’enfance, Écrits des Forges,1988, p.18