Des forges 27

de

Claudette Beaudoin
Jean-Yves Bernard
Hélène Boissé
Geneviève Brisson
Marie-Josée Delisle
Jacqueline Déry-Mochon
Pascale Durand
Chantal Labrie
Johanna Lemire
Ève Lessard
Aline Poulin

Le prix Alphonse-Piché, décerné pour la première fois cette année, est ouvert à ceux et celles qui en sont à leurs premiers mots en écriture et qui n’ont pas encore publié de recueil de poésie. La Revue des Forges se donnant comme mandat d’encourager les nouvelles plumes, nous avons jugé intéressant de prêter les pages de ce numéro aux trois lauréates du concours. Trois talents, trois styles tout à fait différents, nous démontrent que la poésie se porte bien chez nous et qu’elle n’hésite pas à emprunter tous les chemins possibles.

Aux textes des lauréates se joignent des poèmes de certains autres candidats qui, même s’ils n’ont pas été retenus pour l’obtention du prix, n’en ont pas moins attiré l’attention du jury. Regroupés dans la quatrième partie du numéro, ces textes contribuent à élargir encore davantage l’éventail des ressources de la poésie d’ici ; les efforts conjugués de tous ces imaginaires neufs laissent présager une relève dynamique et puissante.

 

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Description

de

Claudette Beaudoin
Jean-Yves Bernard
Hélène Boissé
Geneviève Brisson
Marie-Josée Delisle
Jacqueline Déry-Mochon
Pascale Durand
Chantal Labrie
Johanna Lemire
Ève Lessard
Aline Poulin

Le prix Alphonse-Piché, décerné pour la première fois cette année, est ouvert à ceux et celles qui en sont à leurs premiers mots en écriture et qui n’ont pas encore publié de recueil de poésie. La Revue des Forges se donnant comme mandat d’encourager les nouvelles plumes, nous avons jugé intéressant de prêter les pages de ce numéro aux trois lauréates du concours. Trois talents, trois styles tout à fait différents, nous démontrent que la poésie se porte bien chez nous et qu’elle n’hésite pas à emprunter tous les chemins possibles.

Aux textes des lauréates se joignent des poèmes de certains autres candidats qui, même s’ils n’ont pas été retenus pour l’obtention du prix, n’en ont pas moins attiré l’attention du jury. Regroupés dans la quatrième partie du numéro, ces textes contribuent à élargir encore davantage l’éventail des ressources de la poésie d’ici ; les efforts conjugués de tous ces imaginaires neufs laissent présager une relève dynamique et puissante.

Le matin
firmament de l’œil
seul

« Le lundi midi tu imagines
le bruit des oranges
qu’on pelait le dimanche
je glisse dans l’angle froid des murs
la peinture s’écaille
sans éclat
autour de nos sexes mordus
par l’haleine
d’autres désirs »

Hélène Boissé