Eau lourde

Né à Lévis en 1952, Gilles Lemieux a publié L’ aux Écrits des Forges en 1973. Eau lourde est son second recueil.

Né à Lévis en 1952, c’est dès l’âge de 15 ans que j’écris mes premiers poèmes. À la même époque je découvre la littérature québécoise, mais déjà c’est la poésie qui me passionne. Si bien qu’en 1973 je publie L’, aux Écrits des Forges. De 1976 à 1981, j’organise (ou participe à) des soirées de poésie à l’Anglicane (Lévis). Au cours de mes études littéraires à l’Université Laval, je m’intéresse vivement à la littérature négro-africaine.

En 1985, je rédige quelques articles parus dans le dernier tome du Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec. En 1987, je termine une thèse de maîtrise sur le processus d’individuation (Carl Gustav Jung) dans Épitomé, œuvre poétique de Tchicaya U Tam’si, où je tente également de démontrer la complémentarité des archétypes junguiens avec la mythocritique.

« Ne laissez surtout pas traîner
ces irrésistibles chaînes
sur le sol bouffi, sans remords.

Quelqu’un, comme vous et moi,
négrier banal,
pourrait une fois encore s’en servir…

Et pourtant, servir n’est pas servitude. »

 

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Description

Né à Lévis en 1952, Gilles Lemieux a publié L’ aux Écrits des Forges en 1973. Eau lourde est son second recueil.

Né à Lévis en 1952, c’est dès l’âge de 15 ans que j’écris mes premiers poèmes. À la même époque je découvre la littérature québécoise, mais déjà c’est la poésie qui me passionne. Si bien qu’en 1973 je publie L’, aux Écrits des Forges. De 1976 à 1981, j’organise (ou participe à) des soirées de poésie à l’Anglicane (Lévis). Au cours de mes études littéraires à l’Université Laval, je m’intéresse vivement à la littérature négro-africaine.

En 1985, je rédige quelques articles parus dans le dernier tome du Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec. En 1987, je termine une thèse de maîtrise sur le processus d’individuation (Carl Gustav Jung) dans Épitomé, œuvre poétique de Tchicaya U Tam’si, où je tente également de démontrer la complémentarité des archétypes junguiens avec la mythocritique.

« Ne laissez surtout pas traîner
ces irrésistibles chaînes
sur le sol bouffi, sans remords.

Quelqu’un, comme vous et moi,
négrier banal,
pourrait une fois encore s’en servir…

Et pourtant, servir n’est pas servitude. »