Description
La matérialité des mouvements est le premier recueil de poésie d'Olivier Bourque aux Écrits des Forges. Le poète est né et vit à Montréal.
Le poète propose ici une expérience de la sensation dite et soufflée à même les mots. Il s'interroge : qu'est-ce qu'ailleurs ? Le noeud cérébral ? Il suggère qu'il faut s'entendre seul pulmoner le fragile luisant sur sa peau pour que les mots coulent à même l'ordre de la pensée.
« Mon corps allongé
comme une herbe
Pense que le jour dure
La loi de ces effets est infinie »