Description
TRADUCTION : Nicole Perron-Martel
Ce numéro 31 de Lèvres urbaines ouvre à deux voix qui voyagent en diverses vitesses vers un lieu secret, intérieur, ne livrant jamais tout de ce qui retient l’être, mais discutant « simplement » au bord de l’essentiel.
« dis-moi, combien de vers survivent dans ton cœur ? »
Marco Antonio Campos
« car s’il faut dorénavant vivre hors de la lumière,
il serait insolent de vivre dans le bavardage. »
Émile Martel