Nous deviendrons corail

Nous deviendrons corail présente une poésie évocatrice d’un monde intérieur élaboré autour d’un souvenir perçu comme une blessure.

Micheline Boucher, signe ici un deuxième recueil aux Écrits des Forges.

Lauréate du Prix Piché Le Sortilège de Poésie en 1994, et du Prix du Cercle d’écriture de l’Université Laval en 1996, la poète de Québec nous propose aujourd’hui un recueil à l’écriture sobre, maîtrisée, pour raconter « … la relativité des choses / Du temps des sillons et des cicatrices / D’un dimanche impossible luisant de pluie ».

Nous deviendrons corail est le récit d’un aveu : «Je ne sais célébrer / ni les amantes ni les mères ». Et plus loin : « Je vous parle des femmes du monde / En leur naufrage »

Voici donc un long poème dans lequel la mémoire ravive les images d’un jour ancien où l’univers bascule, où la colère longtemps retenue «traverse l’encre » pour «détruire l’œil du cyclone » et devenir le moteur de l’écriture.

Les poèmes de Micheline Boucher, simples dans leur forme, sont efficaces à rendre les émotions de leur contenu et réussissent à faire passer les orages, à porter plus loin « la démarche incertaine (qui) traverse l’encre » jusqu’à ce jour où « il faudra bien / Être nue et légère / Abandonnée à la blancheur d’un matin de sable », enfin libérée.

« Une aube incertaine a bu le monde
Tout se consume et s’éteint
Contre la floraison de brique »

 

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Description

Nous deviendrons corail présente une poésie évocatrice d’un monde intérieur élaboré autour d’un souvenir perçu comme une blessure.

Micheline Boucher, signe ici un deuxième recueil aux Écrits des Forges.

Lauréate du Prix Piché Le Sortilège de Poésie en 1994, et du Prix du Cercle d’écriture de l’Université Laval en 1996, la poète de Québec nous propose aujourd’hui un recueil à l’écriture sobre, maîtrisée, pour raconter « … la relativité des choses / Du temps des sillons et des cicatrices / D’un dimanche impossible luisant de pluie ».

Nous deviendrons corail est le récit d’un aveu : «Je ne sais célébrer / ni les amantes ni les mères ». Et plus loin : « Je vous parle des femmes du monde / En leur naufrage »

Voici donc un long poème dans lequel la mémoire ravive les images d’un jour ancien où l’univers bascule, où la colère longtemps retenue «traverse l’encre » pour «détruire l’œil du cyclone » et devenir le moteur de l’écriture.

Les poèmes de Micheline Boucher, simples dans leur forme, sont efficaces à rendre les émotions de leur contenu et réussissent à faire passer les orages, à porter plus loin « la démarche incertaine (qui) traverse l’encre » jusqu’à ce jour où « il faudra bien / Être nue et légère / Abandonnée à la blancheur d’un matin de sable », enfin libérée.

« Une aube incertaine a bu le monde
Tout se consume et s’éteint
Contre la floraison de brique »

 

Auteur

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Information complémentaire

ISBN : 2-89046-677-9
PUBLICATION : 2002-01-01
LANGUE : français
PAGES : 76
DIMENSIONS : 12,8 x 20,3 x 0,7
STATUT : Disponible