Description
Sous la forme de ce qu’ils nomment une « poésie progressive », deux poètes de deux générations échangent leurs impressions au sujet de la musique de Pink Floyd et de King Crimson. Écoutés et réécoutés, les albums mythiques de ces groupes les guident à travers des vagues sonores. Mélodies et paroles sont revisitées. Bernard Pozier ouvre la piste, inventoriant « des nappes de sens s’étirant/harmoniques aurores ». Alexandre Trudel poursuivra l’exercice, écrivant que pour lui ce qui est en jeu « C’est la musique visage nu/la poésie ».