Une barque sur la lune

Dans ce recueil, André Leduc utilise à fond de train ses yeux, son regard pour tenter de cerner et rendre réelle, en nous la faisant vivre, l’opposition systématiquement quotidienne qui relie (malgré tout et malgré nous) nos corps, l’en-dehors et l’en-dedans de ceux-ci.

Ses yeux, ses paupières reçoivent l’extérieur du corps (néon, miroir, tiers-monde, bombe, bars, les humains qui s’écrasent, etc,… où tout se brise, éclate et agresse). Et cet extérieur vient, à travers le corps qu’il traverse, se confronter au monde de l’intérieur. Là où logent et vivent le rêve, l’amour, le dernier poème sous la peau. Là où se passe, s’étire, se navigue, se lève, se vit, se hurle, se gronde. Les 4 grands éléments qui constituent le monde (l’eau, la terre, l’air et le feu) se retrouvent donc à l’intérieur du corps et non plus à l’extérieur. De là l’angle neuf de vision de ce recueil. De là aussi, la nécessaire confrontation entre l’extérieur et l’intérieur du corps pour faire de ce dernier le lieu où se déroule la bataille du poète. Mais surtout le lieu où se réfugie et dérive le poète.

Sur fonds de scène vidéo-clips, dans une langue très près de la réalité qu’il met en poèmes, ce recueil d’André Leduc vous conduira là où plus on rêve « moins l’espace respire », au milieu du corps-refuge, du corps-dérive, du corps-tendresse.

Le monde est « en panne d’étoile », de « désir du matin ». Il ne sait plus « faire danser les planètes ».

Seul l’amour permet de traverser un boulevard aujourd’hui. De mener une Barque sur la lune.

« Il ne reste plus qu’un seul poème
sous ma peau ».

 

 

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Description

Dans ce recueil, André Leduc utilise à fond de train ses yeux, son regard pour tenter de cerner et rendre réelle, en nous la faisant vivre, l’opposition systématiquement quotidienne qui relie (malgré tout et malgré nous) nos corps, l’en-dehors et l’en-dedans de ceux-ci.

Ses yeux, ses paupières reçoivent l’extérieur du corps (néon, miroir, tiers-monde, bombe, bars, les humains qui s’écrasent, etc,… où tout se brise, éclate et agresse). Et cet extérieur vient, à travers le corps qu’il traverse, se confronter au monde de l’intérieur. Là où logent et vivent le rêve, l’amour, le dernier poème sous la peau. Là où se passe, s’étire, se navigue, se lève, se vit, se hurle, se gronde. Les 4 grands éléments qui constituent le monde (l’eau, la terre, l’air et le feu) se retrouvent donc à l’intérieur du corps et non plus à l’extérieur. De là l’angle neuf de vision de ce recueil. De là aussi, la nécessaire confrontation entre l’extérieur et l’intérieur du corps pour faire de ce dernier le lieu où se déroule la bataille du poète. Mais surtout le lieu où se réfugie et dérive le poète.

Sur fonds de scène vidéo-clips, dans une langue très près de la réalité qu’il met en poèmes, ce recueil d’André Leduc vous conduira là où plus on rêve « moins l’espace respire », au milieu du corps-refuge, du corps-dérive, du corps-tendresse.

Le monde est « en panne d’étoile », de « désir du matin ». Il ne sait plus « faire danser les planètes ».

Seul l’amour permet de traverser un boulevard aujourd’hui. De mener une Barque sur la lune.

« Il ne reste plus qu’un seul poème
sous ma peau ».