Comme des vents aveugles

Comme des vents aveugles représente une traversée, la mise en acte d’une histoire en perpétuel devenir, comme un incessant recommencement. Dès le poème liminaire, telle est  la couleur du recueil : « Je voulais un signe des temps, une survivance. / Voilà, cela arrive : le pressentiment d’un avenir. » Dans ce sens, ce livre poursuit, en l’approfondissant, une thématique entamée dans le premier recueil de l’auteur, Fuir la maison (Écrits des Forges 2001).

Et tout au long du recueil, les images s’entrechoquent pour faire ressortir le côté sombre, les aspects cachés de la réalité des choses et des êtres. Mais aussi les possibles rêves dans la modulation de ce que nous sommes : « La ville derrière la ville : nexus de ruelles jetées dans l’apparente lumière des êtres. »

Affirmant sa voie en poésie, David Bergeron écrit des poèmes qu’il faut lire et relire: Comme des vents aveugles ne cesse d’affirmer son originalité dans une langue à la fois claire et personnelle :

C’est l’heure de rien, l’heure des transports par matin clair quand le café des autres a un goût de miel etd’alcool, quand l’univers voudrait mourir en haute mer et regarder ses débris revenir à la Terre.

 

 

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Description

Comme des vents aveugles représente une traversée, la mise en acte d’une histoire en perpétuel devenir, comme un incessant recommencement. Dès le poème liminaire, telle est  la couleur du recueil : « Je voulais un signe des temps, une survivance. / Voilà, cela arrive : le pressentiment d’un avenir. » Dans ce sens, ce livre poursuit, en l’approfondissant, une thématique entamée dans le premier recueil de l’auteur, Fuir la maison (Écrits des Forges 2001).

Et tout au long du recueil, les images s’entrechoquent pour faire ressortir le côté sombre, les aspects cachés de la réalité des choses et des êtres. Mais aussi les possibles rêves dans la modulation de ce que nous sommes : « La ville derrière la ville : nexus de ruelles jetées dans l’apparente lumière des êtres. »

Affirmant sa voie en poésie, David Bergeron écrit des poèmes qu’il faut lire et relire: Comme des vents aveugles ne cesse d’affirmer son originalité dans une langue à la fois claire et personnelle :

C’est l’heure de rien, l’heure des transports par matin clair quand le café des autres a un goût de miel etd’alcool, quand l’univers voudrait mourir en haute mer et regarder ses débris revenir à la Terre.

 

 

Auteur

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Information complémentaire

ISBN : 978-2-89645-020-6
PUBLICATION : 2007-01-01
LANGUE : français
PAGES : 72
DIMENSIONS : 12,7 x 20,4 x 0,6
STATUT : Disponible