Le Sherbrookois David Goudreault est un artisan de la poésie de l’oralité. C’est à ce titre qu’il devient, en 2011, le premier Québécois à remporter la Coupe du monde de Slam poésie. Et la même année, il reçoit la Médaille de l’Assemblée nationale du Québec pour son implication sociale et ses réalisations. L’auteur a déjà publié dans des revues littéraires et des anthologies, notamment dans le numéro 44 de la revue
Lèvres urbaines, où l’on peut lire une suite de poèmes intitulée
À l’endroit de nos visages. Moins que liens. En tant que romancier, il est l’auteur de
La bête à sa mère,
La bête et sa cage et
Abattre la bête parus chez Stanké. Ses recueils de poèmes,
Premiers soins (2012),
S’édenter la chienne (2014) et
Testament de naissance (2016) ont été publiés par Les Écrits des Forges. En 2017, il reçoit le prix Lèvres urbaines qui souligne son implication dans le rayonnement de la poésie québécoise.
(Photo : Michelle Boulay)